Plaisir d’écrire… mais également celui de s’exprimer avec un stylo sur un support papier.
Un art, un plaisir se faisant rare aujourd’hui, tant les supports numériques prennent le pas sur l’écrit d’une plume, d’un stylo glissant sur le feuillet d’un carnet.
Pouvoir retranscrire des sentiments, des idées, un vécu, ou tout simplement narrer son quotidien dans un carnet souvenirs… et de les conserver. Nous n’y pensons pas vraiment, mais le numérique a certes ses avantages… mais s’exprimer continuellement sur les réseaux sociaux, s’échanger des mails ou des SMS, sont des atouts de rapidité et de facilité, sauf qu’ils ne défieront pas le temps.
J’aime particulièrement à conserver les écrits. J’ai pour cela une collection de cartes-postales entamée alors même que j’avais six ans… 35 ans plus tard, cette collection est toujours là, tout en s’étant largement étoffée. Pour rien au monde, je ne viendrai à m’en séparer. Au fil des années, outre le plaisir de voyager en regardant ces photos, de me remémorer des voyages effectués, il s’agit surtout de lire et relire des petits mots adressés, griffonnés par différentes personnes. Des gens que j’ai connu et qui ne sont plus pour certains, qui m’étaient chers et qui le sont toujours autrement parfois. Nostalgie, mais surtout une histoire, mon histoire… Une part du livre de ma vie que je conserve, et que je peux consulter lorsque je le souhaite. Chose, que le tout numérique ne me permet pas. Combien de mails, de messages textos sont perdus à jamais ?
Les écrits, des souvenirs…
Ainsi, ce plaisir d’écrire perdure pour moi, mais également pour beaucoup. Récemment, en rangeant dans les affaires de ma mère, disparue à l’été 2014, j’ai retrouvé des blocs notes et carnets lui appartenant. J’y lisais des mots, des phrases écrites dans ses derniers jours. Les larmes ont coulé, tant j’ai pu comprendre trop tard ses souffrances. Peut-être y reviendrai-je avec vous sur un autre sujet. Mais encore une fois, autant je n’ai pu m’approprier ses messages sur son téléphone mobile… que ces notes écrites, manuscrites, je peux les conserver… elles sont et resteront parmi nous. Peut-être même que son petit-fils les conservera à son tour dans quelques années ? S’agissant d’un véritable patrimoine, d’un véritable trésor indélébile.
Perdurer le plaisir d’écrire…
Si comme moi, vous mettez en avant ce plaisir d’écrire ? Je tenais à vous faire découvrir un support de choix, magnifique afin d’y consigner nos mots…
La marque de papeterie créative Villeroi Conti édite une série de quatre carnets de note brodés, à la manière des srapbooks.
Des carnets alliant la beauté, la praticité avec des ouvrages en suédine brodés cousus. Agrémentés d’une tranche irisée couleur bleue, cuivre et or… pour une touche ultime d’élégance. La plume ou la bille du stylo glisse au fil des pages, sur la douceur du papier.
Un carnet, qui deviendra au gré des jours, des mois un véritable ouvrage dans lequel auront été consignées tantôt des réflexions d’un jour, des mots doux, des idées, des projets, des interrogations, des doutes… Ici pourra y être dessinée une caricature, ou encore d’y glisser entre deux pages une photo…
Trésor tant par sa présentation, que par sa couverture recherchée et peu commune. Il appartiendra à chacun de faire vivre son carnet, de lui donner une histoire qui traversera l’histoire. Se souvenir, se remémorer et partager.
Sûr, que tous les amoureux de l’écriture apprécieront de retranscrire leurs pensées dans ce carnet. Carnet allant également vers une idée cadeau classique, mais finalement autrement différente, à offrir lors de la fête des mères ou des pères, ou en bien d’autres occasions.
Des petits carnets pour une magnifique continuité de l’écriture manuscrite, tout en mettant à l’honneur des essentiels de la papeterie à partager.
Carnet de note couverture suédine broché cousu – Villeroi Conti
Format 210 x 140 – 160 pages – 16 euros
Disponibles en librairie et papeterie.
6 carnets brodés disponibles : 1 bouquet, 1 citron, 1 flamant rose, 1 plume, 1 cup-cake et 1 mosaïque.